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Botanique | Photographie | La Réunion | Peinture | Nervures (botanique) | Printemps | Aquarellistes | Caryophyllacées | Conservatoires botaniques | Palmiers | Cours d'eau -- Chenaux | Mauves (plantes) | Aquarelles | Fleurs dans l'art | Plantes de jardins | Silène (mythologie grecque) | Silènes (plantes) | Flore | Jules Eudes (1856-1938) | Chenaux | ...
Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52784da1-changement-de-couleur-d-une-feuille-de-vigne-en-automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne au automne (octobre 2004) : les nervures sont restées vertes tandis que les autres tissus sont devenus rouges. À la fin de l'été, les nervures qui assurent le transport de fluides vers l'intérieur et l'extérieur de la feuille sont progressivement obstruées par un bouchon de liège à la base des feuilles, à l'endroit où précisément le pétiole se brisera. Avec le développement de cette couche de liège, l'afflux d'eau et de minéraux se réduit de plus en plus rapidement. C'est durant cette période que le niveau de chlorophylle commence à décroître. C'est alors que les autres pigments, qui étaient présents dans les cellules durant toute la vie de la feuille, commencent à être visibles. Ce sont les caroténoïdes, qui émettent dans des couleurs jaunes, rouges, brunes et orange.

Feuilles d'érable. Source : http://data.abuledu.org/URI/51157414-feuilles-d-erable

Feuilles d'érable

Feuilles d'érables (Acer circinatum) humides après la pluie, montrant le caractère de nervuration palmée de la plupart des espèces. Originaire d'Amérique du Nord, l'érable donne de belles couleurs rouges sur ses terres d'origine mais beaucoup moins marquées en Europe. Les feuilles d'érable sont toujours opposées et sont, dans la plupart des espèces, à nervuration palmée avec 3 à 9 nervures (plus rarement 13) dont la nervure principale au milieu.

Feuilles de tamarin réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/521f98e3-feuilles-de-tamarin-reunionnais

Feuilles de tamarin réunionnais

Deux feuilles d'un même arbre, le tamarin des hauts (Acacia heterophylla), endémique de La Réunion, novembre 2004. L'épithète spécifique heterophylla fait référence à l'hétérophyllie de l'arbre qui présente des feuilles juvéniles disparaissant rapidement pour être remplacées par des phyllodes. Cette caractéristique est commune à beaucoup d'acacias, notamment australiens. Les jeunes plants développent d'abord des feuilles bipennées, puis rapidement les nouvelles feuilles qui se forment ont un pétiole de plus en plus allongé et aplati alors que le limbe devient progressivement insignifiant jusqu'à disparaître complètement. La foliaison ne produit alors plus que des phyllodes, feuilles réduites à un pétiole transformé, qui ont la forme de lames orientées dans un plan vertical. Ces phyllodes, légèrement arqués, longs de 6 à 16 cm et larges de 0,5 à 2 cm, sont assez coriaces, présentent de nombreuses nervures longitudinales et sont parfois plus ou moins recouverts d'un enduit cireux argenté. Des feuilles juvéniles composées peuvent parfois réapparaître lorsque l'arbre produit des rejets.

Goodyère rampante. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063fb09-goodyere-rampante

Goodyère rampante

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Goodyère rampante, (Goodyera repens) ou Goodyéra rampante est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. Elle se caractérise notamment, chose très rare chez les orchidées, par un réseau de nervures non parallèles sur ses feuilles, et une forte pilosité. Fleurs blanches disposées en épi partiellement spiralé, orienté unilatéralement. Ses fleurs à odeur désagréable ont les sépales latéraux étalés et un labelle triangulaire sans éperon.

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ae2e3-grandes-mauves-en-fleurs-en-bordure-d-un-chenal

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal

Grandes mauves en fleurs (Malva sylvestris) en bordure d'un chenal, le 4 juin 2011, sur les bords du Bassin d'Arcachon (Gironde). C'est une plante poilue, aux tiges souvent étalées, de 30 à 60 cm, aux feuilles crénelées, ressemblant un peu à celles du lierre, aux fleurs rose-pourpre avec des nervures plus foncées sur les pétales. Cette mauve était appelée autrefois, en latin, Omnimorbia soit toutes les maladies, en raison de ses propriétés adoucissantes pour les voies respiratoires utiles pour le traitement de nombre de symptômes. La substance active recherchée dans cette plante est le mucilage. Les principaux effets de la mauve sont émollients et désinfectants. On l'utilise pour apaiser toux, maux de gorge, aphtes, bronchites, enrouements et laryngites. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_mauve

Latanier rouge réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52234a2f-latanier-rouge-reunionnais

Latanier rouge réunionnais

Latanier rouge (Latania lontaroides), novembre 2004, au Conservatoire botanique de Mascarin, La Réunion. Le latanier rouge (Latania lontaroides) est un palmier qui était autrefois présent dans plusieurs îles des Mascareignes et qui ne l'est plus aujourd'hui de façon naturelle qu'à la Réunion. Il est d'ailleurs également connu sous le nom de latanier de la Réunion, voire de pomme latanier. À l'état sauvage, on ne le trouve guère que sur la côte sud de l'île entre Petite-Île et Saint-Philippe, sur les falaises et dans les ravines côtières. Il y est menacé par l'agriculture et le développement des infrastructures humaines. Le latanier rouge est dioïque : mâles et femelles poussent séparément. Pouvant atteindre 12 mètres de haut, il déploie au bout de son stipe (tige) gris et lisse des feuilles en éventail vertes qui sont d'abord rouges durant les premières années de sa vie, comme les pétioles. Les bords du limbe et les nervures principales sont finement dentés.

Silènes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbf99-silenes-de-jardin

Silènes de jardin

Silènes de jardin, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Ce sont des plantes à feuilles opposées, glabres ou duveteuses. Les fleurs sont en grappes lâches. Le calice est tubulaire portant de 10 à 30 nervures et se termine par 5 dents. Les 5 pétales sont bilobés ou finement divisés en lanières. il y a 10 étamines, et 3 (parfois 5) styles. Plusieurs espèces ont ou peuvent avoir des fleurs unisexuées. Dans ce cas le calice des fleurs femelles est généralement plus enflé que celui des fleurs mâles. Le fruit est une capsule à 5 loges, portée par un "pied". Il faut enlever le calice qui est persistant pour le voir. C'est une baie dans l'espèce S. baccifera. Le nom du genre est certainement lié au personnage de Silène, père adoptif et précepteur de Dionysos, toujours représenté avec un ventre enflé semblable aux calices de nombreuses espèces, par exemple S. vulgaris (le Silène enflé) ou S. conica au calice en outre, telle la panse de Silène. À partir du tissu placentaire de fruits de Silene stenophylla stockés par des écureuils il y a plus de 32 000 ans et retrouvés dans du pergélisol en Sibérie, des chercheurs ont réussi à régénérer cette plante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28plante%29